BondyBH est un espace d'échange entre des étudiants français et brésiliens participant à des projets de création multimédia. A Bondy, dans la banlieue parisienne, deux classes du Lycée Jean Renoir développent des projets autour de l'immigration et de la mondialisation. A Belo Horizonte, dans le centre du Brésil, des étudiants apprennent, grâce aux ateliers de l'ONG Oficina de Imagens, à utiliser des outils multimédias pour créer des sites, des photos et des vidéos sur les droits humains.

jeudi 29 janvier 2009

Le génocide rwandais


Coucou tout le monde, nous sommes Assa (sur la photo, à droit) et Nantenin (à gauche) dans notre groupe pour les TPE il y a Josette et Samira. Notre sujet est les réfugier du Rwanda suite au génocide. Depuis le commencement des tpe dans notre groupe sa avance plus ou moins bien. Mais actuellement nous avons beaucoup trop de contact mais il nous faut des contact concret avec qui on pourrait faire quelque chose d'intéressant donc on reste bloqué sur se point la. Lundi nous avons vu Djeff nous lui avons dit se que nous comptions faire pour le projet multimédia c'est a dire avoir une espèce de "confrontation" a 4 avec différente personnalité. Djeff nous a rappelé que comme nous avions pas de contact concret qu'il fallait peut être penser a faite autre chose il nous a proposer d'aller demander l'avis des personnes dans la rue pour savoir leur avis sur le sujet. C'est une idée qui nous plaît aussi donc actuellement nous écartons aucune piste en se qui concerne le projet multimédia . Pour le dossier papier sa avance plutot bien . Donc la on espére avoir des réfugié rwandais qui accepterait de faire un témoignage voila tout sur se on vous dit a très bientôt.

Olá todo mundo! Nós somos Assa (na foto, à direita) e Nantenin (à esquerda). O nosso grupo de TPE tem também a Josette e a Samira. O nosso tema são os refugiados de Ruanda após o genocídio. Desde o começo do TPE, nosso projeto tem avançado relativamente bem. Atualmente, nós temos muitos contatos, mas nos faltam contatos concretos de pessoas com as quais a gente possa fazer alguma coisa interessante. E por isso nós estamos um pouco perdidas. Segunda, nós encontramos com o Djeff e explicamos pra ele o que a gente queria fazer para o nosso projeto multimídia, isto é, uma espécie de confrontação entre quatro personalidades diferentes. O Djeff disse que a gente ainda não tinha um contato concreto e por isso deveria pensar num plano B. Ele nos propôs de entrevistar as pessoas na rua para saber a opinião delas. É uma idéia que nos agrada também. E a gente não quer descartar nenhuma idéia com relação ao projeto multimídia. A parte escrita do projeto tá avançando bem. E aí sim a gente espera ter o depoimento de refugiados ruandeses que aceitem falar sobre o assunto. Bem, é isso que a gente tem pra contar pra vocês. Até mais!

mercredi 28 janvier 2009

Entre la France et le Sri Lanka

Thadsa, 16 ans, 1ES3

Moi, c'est Thadsa. Pour commencer, je suis enfant de réfugies politiques car mes parents ont fui le pays à cause d'une guerre entres deux communautés au Sri-Lanka (un pays au sud de l'Inde). Mes parents vivent ici depuis environ 30 ans, je ne connais rien de mon pays et je n'ai pas de contact avec quelqu'un qui vit la bas et pourtant j'ai mes grands-parents qui sont toujours là bas. Je ne parle pas correctement ma langue maternelle, mes parents ont du mal à me comprendre quand je leur parle, ils ne parlent pas correctement français et moi je ne parle pas correctemnt le tamoul (ma langue maternelle). Moi je ne peux pas me considérer comme srilankaise mais je me considère comme française, je n'ai pas subi de racisme. Et je suis entourée de personnes de différentes origines, je ne vois pas pourquoi je devrais me sentir exclue.

Pra começar, eu sou filha de refugiados políticos, pois meus pais fugiram do Sri Lanka (um país ao sul da India) por conta de uma guerra entre duas comunidades. Meus pais vivem aqui há mais ou menos trinta anos. Eu não conheço nada do meu país e eu não tenho contato com ninguém que mora lá. Mas meus avós ainda moram no Sri Lanka. Como eu não falo muito bem a minha língua materna, eles nao me entendem muito bem. Eles não falam corretamente o francês e eu não falo corretamente o tâmil (minha língua materna). Eu não posso me considerar cingalesa, mas eu me considero francesa. Eu nunca fui vítima de racismo, e eu estou cercada de pessoas de origens diferentes. Eu não vejo porquê eu deveria me sentir excluída.

Sénégal

Salut 1ES3! J'imagine que vous êtes tous désireux de partir au Sénégal. Les jeunes brésiliens ont rencontré un sénégalais qui habite au Brésil et qui a aidé a créer un centre culturel pour diffuser la culture africaine. Vous trouverez la traduction en français du coté brésilien. N'hésitez pas à poser des questions ou publier des commentaires. A bientôt!

Olá, classe 1ES3! Eu imagino que vocês devem estar loucos para partir rumo ao Senegal. Os jovens brasileiros encontraram um senegalês que mora no Brasil e que ajudou a criar um centro cultural para difundir a cultura africana no Brasil. Vocês podem ver a tradução do texto no lado brasileiro. Fiquem à vontade para fazer perguntas ou comentários. Até mais!

vendredi 23 janvier 2009

Les aventures d'un jeune italian à Paris

Salut, moi c'est Annie (au centre), je travaille avec Thadsa (à droit) et Léa (de dos), sur le travail clandestin dans la restauration. Ce matin, Djeff est venu nous aider pour le projet audio-visuel. La semaine dernière, il nous avait conseillé de voir un court-métrage : "Ciao Mamma".

Nous l'avons visionnée, et je l'ai trouvée super sur la manière dont le réalisateur a filmé, sur le scénario, ect... En fait, ça raconte une lettre d'un jeune italien, adressé à sa mère. Sur sa lettre, il décrit ses journées depuis qu'il est arrivé en France. Il raconte qu'il vit dans le luxe, que Paris est une ville formidable, et qu'il est un homme d'affaires qui voyage beaucoup, mais en réalité la vidéo nous montre sa vraie vie, où l vit dans la misère, et qu'il est sans emploi...

Nous avons donc discutées de ce film ce matin, et réfléchis sur notre projet. Nous allons peut-être faire une vidéo avec des dessins, en s'inspirant du film, en montrant le contraire de ce que la voix off raconte, mais ce n'est encore qu'une idée.

Olá! Eu me chamo Annie (no centro da foto). Eu, a Thadsa e a Léa estamos fazendo uma pesquisa sobre o trabalho clandestino no setor de alimentação. Esta manhã, o Djeff veio nous ajudar no projeto audiovisual. Semana passada, ele tinha sugerido que a gente visse um curta-metragem chamado Ciao Mamma.

Nós vimos o curta, e eu achei genial o cenário, a maneira como o diretor filmou, etc... Na verdade, o curta mostra a carta de um jovem italiano a sua mãe. Nessa carta, ele descreve seu dia-a-dia desde a chegada na França. Ele conta que ele vive no luxo, que Paris é uma cidade formidável, que ele é um executivo que vive viajando... mas as imagens mostram que, na realidade, ele vive na pobreza, não tem emprego...

Então hoje a gente aproveitou para discutir o filme e refletir um pouco sobre o projeto. A gente tá pensando em fazer um filme a partir de alguns desenhos e, se inspirando no curta que a gente viu, mostrar o contrário do que a voz em off diz. Mas, por enquanto, isso é apenas uma idéia...


samedi 17 janvier 2009

Salut Brésil!

Bonjour à vous étudiants brésiliens,

Pour répondre à vos questions, pour ma part je suis pas issu d une famille d'immigrés. Ce qui me donne un autre point de vue. En Banlieue ou nous vivons il y a une vraie mixité des cultures ce qui est à la fois très enrichissent et en même temps conflictuel. Je pense que pour un enfant de parents immigrés, il y a la culture de la famille et celle de l'école, et un mélange des deux se fait. Il est constaté que l'enfant d'immigré a du mal à se situer entre deux cultures. Par exemple l'enfant de parents immigrés d'origine Algérienne mythifie la culture des ces parents quand il est en France, mais quand il passe ces vacances au "bled" (le pays d'origine de ces parents) il est considéré par les Algériens comme français et lui s'aperçoit qu'il est étrangers à cette culture.

Alors qu'en France bien que né en France et donc français puisque en France c'est le droit du sol (un enfant né en France est français, même si ces parents sont étrangers et non le droit du sang, c'est à dire l'enfant prend la nationalité de ces parents).Par contre en France il peut être victime d'un racisme qui bien que de nationalité française, il est considéré par les racistes comme algérien. La France à une traditions d'intégration de vague d'immigrés au début du XXe siècle, des polonais, des italiens, des espagnols, au milieu du XXe siècle des portugais, et des originaires des pays de ces ancienne colonies(Maghreb, Afrique noire).

Le débat actuel est de savoir si les difficultés d'intégration des populations d'origine arabe et d'Afrique noire sont plus importantes que celle des pays européens du début du XXe siècle (polonais, italiens, espagnols). Pourtant, les historiens rappellent que polonais et italiens ont fait l'objet de réactions racistes ,comme aujourd'hui les immigrés maghrébins et d'Afrique noire, et ils sont complètement intégrés aujourd'hui. Ce phénomène d'intégration va-t-il aussi fonctionner pour les immigrés maghrébins et d'Afrique noire notamment les enfants de ces derniers, certains le pensent (comme moi), d'autres pensent que cette intégration sera plus difficile contenu de la religion musulmane de ces derniers.

Il y a des ONG et des associations de solidarité française ou mixte (français et étrangère) qui aident les immigrés et leurs enfants ,notamment pour éviter les expulsions vers les pays d'origine et permettre l'obtention de papier pour rester en France (ces associations sont notamment la CIMADE, le GISTI).
En espérant que ma réponse vous aidera, si nécessaire me contacter pour plus d'information si besoin est.

Cordialement,
Thibault HARDY 1er ES3b
Olá, estudantes brasileiros,

Para responder as perguntas de vocês... bem, de minha parte, eu não venho de uma família de imigrantes, o que me deu um outro ponto de vista. Na periferia, onde eu moro, há uma verdadeira mistura de culturas que é ao mesmo tempo gratificante e conflituosa. Eu acho que para um filho de pais imigrantes existe a cultura da família e a cultura da escola e, no final, acaba rolando uma mistura de ambas.

E difícil para um filho de imigrantes viver entre duas culturas. Por exemplo, o filho de pais de origem argelina idealiza a cultura dos pais quando está na França. Mas quando ele vai passar férias na Argélia, ele é visto como francês e acaba percebendo que ele é estranho a essa cultura. Já na França, embora nascido em solo francês e, portanto, sendo francês (uma criança nascidade na França é francesa, mesmo que os pais sejam etrangeiros, já que o que vale é o direito de solo, e não de sangue), ele pode ser considerado como argeliano e ser vítima de racismo.

A França tem uma tradição de integração de ondas de imigrantes. No começo do século XX, foram os poloneses,os italianos, os espanhóis. Em meados do século XX, vieram os portugueses e os imigrantes das ex-colônias francesas (Magreb e África Negra). Resta saber se as dificuldades que os povos árabes e os imigrantes da África Negra enfrentam hoje na França são maiores do que as dificuldades que os imigrantes europeus enfrentaram no início do século XX (poloneses, italianos, espanhois). No entanto, certos historiadores relembram que poloneses e italianos, assim como os imigrantes do norte da Africa e da África Negra, também foram vítimas de racismo, e atualmente estão totalmente integrados. Este fenômeno de integraçao vai funcionar também para os emigrantes do norte da África e da África negra? E para os filhos desses emigrantes? Alguns, como eu, acreditam nisso. Outros acham que essa integração será mais difícil por conta da religião muçulmana predominante na maior parte desses países.


Existem ONGs e associações de solidariedade franceses ou mistas (francesas e estrangeiras) que ajudam os imigrantes e seus filhos. O objetivo é evitar a deportação e conseguir os documentos para que os imigrantes possam continuar na França (principalmente associações como CIMADE, GISTI)

Espero que minha resposta possa ajudar. Se precisarem, é so entrar em contato.

Atenciosamente,
Thibault ES3b HARDY 1.

vendredi 16 janvier 2009

La justice des sans papiers en Seine-Saint-Denis


Salut, moi c'est Youcef (sur la photo, à gauche), deux de mes camarades de classe, Alex et Ferhat (à droit) travaillons sur la justice des sans papiers en France plus particulièrement en Seine Saint Denis. Nous étudions la manière que prend la justice face aux sans papiers (personnes dans une situation irrégulière), c'est à dire les lois qui sont pour eux et contre eux, leurs façons de vivre... Pour notre multimédias, prochainement on va faire un petit film sur l'arrestation d'un sans papiers.
Hier pendant la séance de TPE, toute la classe on avait regardé 3 petit film diffusés sur comment faire un bon film ? (scénario, montage, cadres, synopsis) qui sont diffusés sur ARTE et on n'a commencé un début de synopsis.
Ciao à la prochaine.

Olá ! Eu, Youcef (na foto, à esquerda), e dois colegas, Alex et Fehrat (à direita), estamos fazendo um trabalho sobre a justiça dos imigrantes ilegais na France, em especial os de Seine Saint-Denis *. Nós estudamos a maneira como a justiça francesa trata os ‘sem documento’ (pessoas em situação irregular), ou seja, as leis contra e a favor deles, a maneira na qual eles vivem... Para nosso projeto multimídia, a gente vai fazer um pequeno filme sobre a dentenção de um imigrante ilegal.
Ontem, durante a sessão do TPE*, nós vimos três vídeos exibidos pelo Canal Arte sobre como fazer um filme (cenário, edição, enquadramento, sinopse). E depois começamos a fazer a sinopse do nosso.
Tchao e até a próxima.

* Região francesa situada a nordeste de Paris e formada por várias cidades, incluindo Bondy.
* Travaux personnels encadrés : algo como ‘trabalhos pessoais orientados’. Os TPE foram incorporados ao currículo nacional francês em 2001. Ao longo da ‘première’ (algo como o nosso segundo ano do ensino médio), os alunos fazem um projeto de pesquisa e preparam uma apresentação oral e escrita (e, no caso de Bondy, multimidia) sobre um determinado assunto.

jeudi 15 janvier 2009

Le cadre

Said et Youcef (le photographe) montrent qu'ils ont bien appris la leçon de Djeff sur le cadre! Pour ceux qui veulent savoir plus sur le cadre, voici le programme d'Arte sélectionné par Djeff pour présenter le sujet: Le cadre

Il y en a d'autres ressources intéressants sur le site d'Arte. Vous pouvez même pratiquer un peu le montage: Court-circuit Web

Said et Youcef (o autor das fotos abaixo) mostram que aprenderam bem a lição de Djeff sobre enquadramento. Quem quiser saber mais sobre o assunto, aí vai o link da série do canal franco-alemão Arte, selecionada pelo Djeff para apresentar o assunto na aula desta quinta-feira. Infelizmente, não tem uma versão em português. Mas algumas animações são auto-explicativas. E dá para praticar um pouco de edição através dos exercícios propostos. Alguém tem uma dica de um site ou programa interessante em português sobre o assunto?



vendredi 9 janvier 2009

La séance du 8 Décembre : Sortie à Upian et au Forum des images

Momiza, 16 ans, 1ere ES

Moi, c'est Momiza.Aujourd'hui, nous avons eu une sortie.

Vers 9h40 nous avons visité la société UPIAN. Alex, le "patron" nous a montré les locaux etc. Puis on est descendu au sous sol où il y avait des personnes d'une autre société (je ne me souviens plus du nom) qui travaillait sur un clip. Après, on a essayé de trouver un nom pour notre site (sur lequel il y aura nos projections) qui n'est pas encore déterminé. Ensuite, on a essayé de faire les mises en pages, enfin le story-bord du site (qui n'est pas encore terminé); par exemple sur la 1° page notre idée serait de mettre un titre, une intro, un logo, une photo ou de faire une carte postale. Sur la 2° page, il pourrait y avoir une planète qui tourne avec des cartes postales sur chaque pays concernant un des sujets. Bref plusieurs idées ont été dites.

Vers 13h15, on avait rendez-vous aux FORUMS DES IMAGES. Arrivé là-bas, un formulaire pour pouvoir créer nos cartes nous a été distribué. Puis, on a visité l'endroit et nous sommes allés voir la salle de collection (c'est une salle composée de plusieurs ordinateur sur lesquels on peut regarder des films). Ensuite, on est allé voir une projection dans une des salles du forum. C'était une projection de plusieurs courts métrage. Après on s'est rendu à la salle on nos "films" seront projetés. On a eu 10 min de pause, ensuite nous sommes allés dans une des salles et il y a eu un débat sur les films qu'on venait de voir. La séance s'est terminée vers 17h30.

Eu me chamo Momiza. Hoje, nós participamos de uma atividade fora da escola.

As 9h40, nós visitamos a empresa UPIAM. Alex, o 'patrão', nos mostrou o lugar. Depois, nós visitamos o subsolo, onde pessoas de uma outra empresa (da qual eu não me lembro do nome) estavam produzindo um videoclip. Em seguida, tentamos criar um nome para o nosso site (no qual a gente vai poder publicar nossos trabalhos). Também tentamos fazer a diagramação da página, ou seja, o storyboard do site (que ainda não está definido). Na primeira página, por exemplo, nossa idéia era colocar um título, uma logo, uma foto e, com isso, criar uma espécie de cartão postal. Na segunda página, poderíamos colocar a imagem de um planeta. A medida que ele gira, aparecem na tela cartões postais relacionados aos assuntos tratados em cada país. Enfim, várias idéias foram discutidas.

As 13h15, a gente tinha um encontro marcado no 'Forum des Images'. Logo na chegada, a gente recebeu um formulário para poder criar nossas carteirinhas de acesso ao Forum. Depois, nós visitamos o local e fomos ver a sala do acervo (é uma sala composta de vários computadores, através dos quais a gente pode ver os filmes). Em seguida, vimos uma projeção numa sala do Forum. Era uma projeção de vários curtas-metragens. Também conhecemos a sala onde nossos « filmes » serão projetados. Depois de dez minutos de pausa, fomos para uma outra sala e participamos de um debate sobre os filmes que a gente tinha acabado de ver. A sessão terminou às 17h30.



Visite à UPIAN

mardi 6 janvier 2009

L'immigration chilienne

Manon, Thomas et Moussa ont choisi pour thème l'immigration chilienne suite au coup d'état de Pinochet. La question centrale de leur travail est la suivante: pourquoi plusieurs immigrants chiliens ont décidé de rester en France, même après la fin de la dictature? Ils ont déjà recueilli plus d'une heure d'entretien, en plus de divers documents (photos, articles et lettres). Dans l'extrait publié ci-dessous, un immigrant chilien se souvient de son arrivée en France dans les années 80

Manon, Thomas et Moussa escolheram como tema a imigraçao chilena apos o golpe de estado de Pinochet. A pergunta central do trabalho deles é a seguinte: por que muitos imigrantes chilenos optaram por ficar na França, mesmo apos o fim da ditadura? Até agora, eles ja recolheram mais de uma hora de entrevista, além de diversos documentos (fotos, artigos e cartas). No extrato publicado abaixo, um imigrante chileno relembra sua chegada na França nos anos 80.


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